I. Critique de la Nouvelle Législation
Dans son intervention du 31 janvier 2022, Alberto Yelmo a formulé une critique solide contre la récente Loi 11/2021, arguant que son implémentation pourrait entraîner un état de défenselessness pour les athlètes. La suppression d’une seconde instance administrative, qui devrait être impartiale et indépendante institutionnellement, représente un recul significatif dans la protection des droits des sportifs, limitant leur capacité à faire appel des décisions pouvant avoir un impact profond sur leurs carrières professionnelles et leur réputation.
II. Répercussions pour les Athlètes
La position de Yelmo souligne l’importance de maintenir un système légal offrant aux athlètes toutes les garanties procédurales nécessaires pour se défendre adéquatement dans les cas de dopage. La suppression d’une instance d’appel va non seulement à l’encontre des principes de justice et d’équité mais met également en péril la crédibilité et la transparence du processus légal dans le domaine sportif.
III. Appel à la Réflexion et à l’Action
Cette déclaration au Congrès cherche à motiver un débat sur la nécessité de revoir et éventuellement de modifier la Loi 11/2021, dans le but de réintroduire la seconde instance administrative. Elle appelle les législateurs et les organismes sportifs à considérer les implications de cette loi et à travailler ensemble pour trouver des solutions qui protègent les droits des sportifs, s’alignant sur les normes internationales établies par l’Agence Mondiale Antidopage.